Trois semaines à enchainer le rendez-vous quotidien /réveil/ptit déj/courirjuskolicé/cours8h-12h/bouffer, dessiner, jouer/cours13h-17h/courirjuskalamaison/ordi/bouffer/douche/ordi/lecture/dodo.
Trois semaines que j' apprend la matière passionnante qu' est la marqueterie.
Trois semaines à lire des livres, en prendre sans demander (quel crime! omg!) cela sans discontinuer.
Trois semaines à dessiner et jouer au gomoku tout les midis, belle heure de repos.
***
La vie avance, je ne m' ennuie pas.
Ces derniers temps, pourtant, je me sentais fatigué, plus que d' habitude, du fait de mes réactions étranges au sommeil, plus je dors plus je suis fatigué, plus je suis fatigué plus j' ai besoin de dormir, hololole.
Mais ce n' est sans doute qu' un coup de fatigue passager.
Ce vendredi après-midi, pourtant, n' ayant rien à faire, j' ai décidé d' écrire un article, pour raconter quelques courtes pensées qui me viennent, et parler un peu de ce métier.
En cours, touvabien, si ce n' est que j' enchaine les conneries (normal), les longues minutes à me vautrer sur ma chaise quand le prof tourne le dos, à tracer des lignes avec cet instrument de torture qu' est le stylo tubulaire, à apprendre à utiliser mes nouveaux outils.
Pourtant, j' aime bien ce travail du bois, le choix des éssences de bois, les lignes à découper à la scie sauteuse, l' incrustation, l' utilisation non modérée du papier kraft, les belles marqueteries réalisées, dont le regard ne se lasse pas....
Ces derniers temps, pourtant, je me sentais fatigué, plus que d' habitude, du fait de mes réactions étranges au sommeil, plus je dors plus je suis fatigué, plus je suis fatigué plus j' ai besoin de dormir, hololole.
Mais ce n' est sans doute qu' un coup de fatigue passager.
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Ce vendredi après-midi, pourtant, n' ayant rien à faire, j' ai décidé d' écrire un article, pour raconter quelques courtes pensées qui me viennent, et parler un peu de ce métier.
En cours, touvabien, si ce n' est que j' enchaine les conneries (normal), les longues minutes à me vautrer sur ma chaise quand le prof tourne le dos, à tracer des lignes avec cet instrument de torture qu' est le stylo tubulaire, à apprendre à utiliser mes nouveaux outils.
Pourtant, j' aime bien ce travail du bois, le choix des éssences de bois, les lignes à découper à la scie sauteuse, l' incrustation, l' utilisation non modérée du papier kraft, les belles marqueteries réalisées, dont le regard ne se lasse pas....
Ce quotidien ne me dérange pas tant que ça, surtout du fait de mes trois jours de week end, je m' amuse énormément.
Notre professeur nous a fait découvrir la marqueterie de cette manière:
*D' abord, grace à un instrument de torture appelé le bocfil: en gros c' est une scie qu' on utilise sur une plaque préalablement percée et sur laquelle est collée une feuille ou sont tracées plusieurs lignes, allant de la ligne droite jusqu' à une ligne qui part dans tout les sens.
Le but étant bien sur de scier toute la journée sur ces lignes, et de recommencer jusqu' à aller bien sur tout les traits, sans jamais dévier. Ma main s' en ai souvenue.
Le second travail est de tracer au bocfil une fleur toute simple, la différence étant que l' on doit d' abord tracer le cheminement de cette fleur, pour ne pas perdre des morceaux en route. Une fois tout les morceaux de la fleur découpée, nous devions les incruster sur la plaque, en faisant bien attention à égaliser le jeu laissé par le passage de la scie (et l' autre con qui se mettait à faire des allusions au foot, égaliser le jeu, marquer des buts, etc etc), au bocfil, inssuportable.
Le prof nous a bien prévenu, c' était la première et dernière fois qu' on utilisait le bocfil, ouf.
Le troisième travail reprenait le découpage des lignes, mais cette fois si avec la sainte machine appelée scie sauteuse. Le travail durait toute la journée, j' en ai fait 3-4, puis j' ai fait la fleur.
Une fois tout ceci fait, nous pouvions faire notre première marqueterie.
Suite au prochain épisode...